Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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France Info : Intervention de Nicolas Dupont-Aignan

19/11/2009 10:49

France Info : Intervention de Nicolas Dupont-Aignan


http://www.dailymotion.com/video/xb6nao_france-info-intervention-de-nicolas_news?from=rss




Débat dans "C'est demain la veille"

19/11/2009 10:46

Débat dans


http://www.dailymotion.com/video/xb6mk5_debat-dans-cest-demain-la-veille_news?from=rss




Nicolas Dupont-Aignan invité politique de France Culture

19/11/2009 10:43

Nicolas Dupont-Aignan invité politique de France Culture


http://www.dailymotion.com/video/xb6ks5_nicolas-dupontaignan-invite-politiq_news?from=rss




Le Français et la francophonie

19/11/2009 07:11

Le Français et la francophonie


L’AFAL en demande l’organisation au Gouvernement français

Depuis quelques années, Avenir de la langue française (ALF), appuyée par plusieurs autres associations de défense et de promotion du français et de la Francophonie et mouvements proches jugeait nécessaire que les Français pussent enfin amplement débattre au niveau national de ces deux questions liées, vitales pour la France, pour les pays qui ont sa langue en partage, et pour le maintien et l’affirmation de la diversité linguistique et culturelle du monde face aux tendances lourdement hégémoniques d’une langue et d’une culture étrangères.
Les colloques et séminaires que nos associations ont pu organiser, ou auxquels elles ont pu s’associer à divers titres et degrés, ces dernières années ont certes tous eu leur utilité. Mais ils ont été très insuffisamment médiatisés. Ils n’ont pu instaurer le grand débat national souhaité.
Or, l’urgence s’en est accrue récemment par la participation d’acteurs publics – notamment de plusieurs ministères – français à ce qui prend l’allure d’une offensive de grande envergure pour la bilinguisation de la France, l’abandon du rôle international – voire, à terme : national – de sa langue, et pour le dépérissement de la Francophonie organisée. Nos associations relèvent que cette offensive se déploie au mépris des actions méritoires du secrétaire d’État chargé de la Coopération et de la Francophonie, et – plus encore – contre les orientations apparemment très favorables données par le Président de la République dans ses discours du 9 mars 2007 à Caen lors de sa campagne électorale, puis le 20 mars lors de la journée mondiale 2008 de la Francophonie à la Cité universitaire internationale, en présence du président Abdou Diouf, secrétaire général de l’OIF.
Nos associations insistent donc avec force pour que l’État tranche à son niveau et organise les états généraux demandés, qui devraient permettre de mieux assurer les orientations de la France et, partant, les chances de succès de l’OIF, de la Communauté francophone, et de l’affirmation de la diversité culturelle et linguistique du monde pour laquelle la France et ses amis avaient œuvré avec un grand succès en vue de la convention UNESCO pertinente, votée à la quasi unanimité en octobre 2005, et entrée en vigueur en mars 2007 après avoir été très largement ratifiée, malgré les manœuvres hostiles des États-Unis d’Amérique du Nord.
L’AFAL, « Association francophone d’amitié et de liaison », présidée par M. Jacques Godfrain, ancien ministre et ancien député, qui regroupe cent trente associations françaises, franco-étrangères et étrangères qui toutes s’affirment aussi au service de la langue française et de la coopération entre pays ayant le français en partage, s’est alors saisie de cette importante question.
Lors de son assemblée générale tenue le 11juin 2009 au palais Bourbon, elle a décidé à l’unanimité d’adresser au Gouvernement français la demande pressante suivante :
« L’AFAL constate une désaffection croissante des pouvoirs publics français, notamment de plusieurs ministères, à l’égard de l’emploi public de la langue française au bénéfice quasi exclusif de la langue anglo-américaine.
L’accélération de ce processus d’aliénation la conduit à juger urgente l’instauration d’un débat national de grande ampleur sur ce sujet vital pour la France. L’assemblée générale demande donc au Gouvernement français de bien vouloir organiser* au plus haut niveau de véritables états-généraux de la langue française et de la Francophonie.»
par Albert Salon, président d’ALF (« Avenir de la langue française »), docteur d’État ès lettres, ancien ambassadeur





A la tribune de l’Assemblée, NDA plaide pour la suppression des remises de peine automatiques

19/11/2009 06:42

A la tribune de l’Assemblée, NDA plaide pour la suppression des remises de peine automatiques


Débat parlementaire sur la loi de récidive criminelle - Intervention de Nicolas DUPONT-AIGNAN

Mardi 17 novembre 2009

Madame la présidente, madame la ministre d’État, mes chers collègues, nous débattons aujourd’hui d’un sujet grave qui inquiète particulièrement nos concitoyens : la récidive criminelle.
Pour ma part, je ne peux que saluer la démarche du Gouvernement, qui a le courage de présenter une loi controversée mais profondément nécessaire.
Oui, madame la garde des sceaux, votre projet est courageux, car comment laisser en liberté – si peu surveillée – nombre de criminels, qui, hélas ! récidivent parfois dès le lendemain de leur libération, qui plus est sur les lieux mêmes de leur précédent crime ?
Bien sûr, le risque zéro n’existe pas, mais comment pourrait-on refuser de mieux prévenir la récidive ? Certains s’étonnent de voir les parlementaires ou le Gouvernement réagir à des événements dramatiques. Mais je suis quant à moi étonné qu’on ait attendu tant d’événements dramatiques pour réagir, et nous n’avons qu’à nous féliciter d’avoir enfin le courage de poser le problème.
Je me permets de recommander à certains de nos collègues le livre de Georges Fenech, que j’ai apporté. Il s’intitule : Criminels récidivistes. Peut-on les laisser sortir ? Je me permets de l’évoquer, car il montre très bien l’enchaînement dans lequel sont pris ces tueurs en série et l’incapacité dont notre justice a témoigné.
On a bien le droit, en effet de se poser certaines questions – notamment celles du pourquoi et du comment –, non pas pour accuser Untel ou Untel, mais pour comprendre l’engrenage fatal qui a conduit tant de victimes à passer entre les mains de ces tueurs qui auraient pu, à un certain moment, être arrêtés dans leur parcours tragique. Cette loi va donc dans le bon sens. Elle répond à une attente de nos compatriotes, et je la voterai sans état d’âme. Je prends d’ailleurs le pari que, dans quelques années, on se demandera pourquoi ces débats furent si agités.
Mais cette loi n’est-elle pas aussi, d’une certaine façon, l’arbre qui cache la forêt ? En effet, quel dommage, madame la garde des sceaux, que le gouvernement auquel vous appartenez n’ait pas encore – mais cela viendra peut-être – le même courage pour donner à la justice française les moyens de rendre enfin exécutoires les peines d’incarcération ! Je pense, bien sûr, aux dispositifs qui dispensent les condamnés d’accomplir l’intégralité de leur peine de prison ferme. À cet égard, je défendrai demain un amendement visant à supprimer l’article 721 du code de procédure pénale, qui accorde une remise de peine systématique de trois mois pour la première année, puis de deux mois pour les années suivantes.
Ainsi, une personne condamnée à six ans de prison sait dès son incarcération qu’elle sortira au bout de quatre ans et onze mois. À cette remise de peine automatique, qui date de 2004, s’ajoute une seconde réduction de trois mois par an, sous certaines conditions bien sûr.
Ces réductions sont ensuite complétées par la libération conditionnelle. Ainsi, un détenu condamné à onze ans pour homicide a pu sortir au bout de sept ans et aller assassiner cette dame de Milly-la-Forêt dont il a déjà été question.
Comment peut-on, sous couvert d’une fausse générosité, ne pas s’interroger sur cette situation qui décrédibilise totalement notre justice et notre État de droit, et qui remet évidemment en cause nos institutions ?
Mais, au-delà de la fausse générosité et du discours trompeur selon lequel la prison serait le pire des systèmes – en connaît-on un autre pour de tels criminels ? –, nous savons tous ici pourquoi la France est, dans le monde, le pays démocratique qui cumule le plus de dispositifs de remises de peine.
Le président de la commission des lois lui-même l’a admis ; ce fut d’ailleurs l’un des motifs du vote de 2004 sur les remises de peine automatiques. J’ai relu les débats de cette époque, qui sont très intéressants et que je vous recommande. L’argument est le suivant : on n’a pas assez de places de prison, il faut donc exempter d’incarcération les condamnés.
Nous aboutissons donc obligatoirement au débat essentiel sur les moyens de la justice. Je sais bien que le Gouvernement a fait un effort, puisque c’est à peu près le seul poste budgétaire qui échappe aux coupes claires. Je sais aussi que des efforts ont été consentis entre 2002 et 2007 par la majorité. Pour autant – reconnaissons-le ensemble – nous sommes très loin du compte.
Notre pays dépense moitié moins d’argent par habitant pour sa justice que l’Allemagne et la Grande-Bretagne. C’est la première cause de la crise que connaît notre justice à tous les niveaux.
Il faut donc absolument, compte tenu de moyens qui ne sont pas si importants – quoique, si l’on compare avec d’autres ministères, ils le restent, et vous le savez bien, madame la garde des sceaux –, poursuivre cet effort, car ce sera le seul moyen de faire sauter au moins – et, je l’espère, prochainement – les remises de peine automatiques, pour que la peine de prison retrouve son exemplarité et qu’enfin les délinquants sachent à quoi s’en tenir.
En vérité, le vrai choix qui s’offre à notre pays, et sur lequel les Français nous jugeront collectivement, vous et nous, est le suivant : soit continuer à empiler, année après année, des lois qui sont certes utiles, mais qui peuvent être considérées comme autant d’expédients à une certaine clochardisation judiciaire de notre pays, soit doter enfin la France d’une justice digne du xxie siècle, en augmentant massivement ses moyens.
Pour ma part, vous l’aurez deviné, mon choix est fait.





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